Première fausse évidence, comment appelle-t-on ça déjà ?
…ah oui,
la loi de l’offre et de la demande !
Pour que le marché soit efficace, laisse le fonctionner le + librement possible. Il s’équilibre, voyons, aie confiance. C’est un jeu d’enfant à comprendre, entend-on régulièrement.
Oui en effet, certainement que l’équilibre pourrait se faire, sauf qu’on oublie de nous préciser que le marché n’est pas régi par les seules lois de la nature et, comme l’Homme n’est pas encore au point pour agir avec équité sur les forces qu’il contrôle, j’émets des doutes. Mais j’ose penser qu’il est en devenir vers cette tendance.
En attendant, les marchés ne s’autorégulent pas et surtout pas le financier. Mais, on persiste à nous affirmer le contraire.
Soyons lucides,
car tous autant que nous sommes et à des degrés divers, nous avons succombé, succombons et succomberont encore aux sirènes d’un temps où…
la vénalité reste omniprésente et universelle.
Toutefois, certains hommes commencent à répondre à d’autres motivations que la cupidité insatiable.
« Et en plus et en moins », v.egloff – acrylique sur toile de spi. 140x180cm, http://v.egloff.free.fr
Réflexion artistique sur le principe de vases communicants du marché.
Gif animé: v.egloff
Les autres fausses évidences seront traitées dans les prochains postes.
Cet article a été inspiré par le « Manifeste d’économistes atterrés »
à suivre…
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